RD Congo : le gouvernement congolais massacre son peuple pour permettre à KABILA de rester au pouvoir.
L’extermination du peuple congolais moyen utilisé par KABILA pour rester éternellement au pouvoir.
Le gouvernement de
la République démocratique du Congo met ses propres intérêts au-dessus du
bien-être du peuple congolais. Il a refusé d'assister et d'encourager les
autres pays d’aider la RDC et les avait encouragé à ne pas participer à la
conférence internationale de Genève, une initiative des Nations unies visant à
lever 1,7 milliard de dollars pour l'aide d'urgence à plus de 13
millions de personnes au Congo touchées par la violence et la famine. Les
intérêts du gouvernement Congolais ne sont pas ceux du peuple Congolais.
Les représentants du gouvernement nient qu'il y ait une crise humanitaire. Cela semble lié à une tentative sinistre d'attirer l'investissement étranger et d'enrichir davantage les personnes au pouvoir, tout en évitant que les autres pays mettent leurs yeux sur le désastre en RDC et les laissent tuer le peuple congolais et piller son économie.
Les forces de sécurité
congolaises et les groupes armés ont tué des milliers de civils ces deux
dernières années, ajoutant au plus de six millions de Congolais morts de causes
liées au conflit au cours des deux dernières décennies - faisant du conflit au
Congo le plus meurtrier depuis la Seconde Guerre mondiale . Aujourd'hui,
quelque 4,5 millions de Congolais sont déplacés de leurs foyers - plus que dans
tout autre pays d'Afrique. Des dizaines de milliers de personnes ont fui en
Ouganda, en Angola, en Tanzanie et en Zambie au cours des derniers mois,
soulevant le spectre d'une instabilité régionale accrue.
Le Congo est le plus
grand producteur de cuivre d'Afrique et la plus grande source de cobalt au
monde. Il a triplé en valeur au cours des 18 derniers mois en raison de la
demande de voitures électriques. Des centaines de millions de dollars de
revenus miniers ont disparu ces dernières années, alors que Kabila et sa
famille et ses proches associés ont
amassé des fortunes en millions de dollars. Alors que l'immense richesse
minérale du Congo pourrait aider à répondre à l'urgence et à d'autres besoins
fondamentaux d'une population appauvrie, les revenus de tout nouvel
investissement sont plus susceptibles de se retrouver dans les poches des
personnes au pouvoir, de véritables prédateurs et voleurs de l’économie
congolaise.
La violence pour ne jamais organiser les élections.
Une grande partie de
la violence récente en RDC est liée à l'aggravation de la crise politique dans
le pays. Le président Joseph Kabila retarde les élections et utilise la violence, la répression et la corruption pour se maintenir au pouvoir,
au-delà de la fin de ses deux mandats imposée par la Constitution. Il est hors
mandat depuis le 19 décembre 2016.
Kabila préside un système d'impunité enracinée dans lequel les plus responsables des abus sont régulièrement récompensés par des postes, la richesse et le pouvoir. Les forces de sécurité congolaises ont mené ou orchestré une grande partie de la violence à travers le pays, dans certains cas en créant ou en soutenant des groupes armés locaux. Des sources de renseignements et de sécurité bien placées affirment que les efforts visant à semer la violence et l'instabilité sont une «stratégie du chaos» apparemment délibérée pour justifier de nouveaux retards électoraux.
Les forces de sécurité
congolaises ont abattu près de 300 personnes lors de manifestations politiques
ces trois dernières années. Depuis décembre, les forces de sécurité ont atteint
un nouveau creux en tirant sur les
Églises catholiques pour perturber les
services pacifiques et les marches de protestation après la messe dominicale.
Pendant ce temps, les
attaques contre les civils se sont intensifiées dans la province de l'Ituri au
Congo oriental au cours des trois derniers mois. Humann Watch a documenté des
récits terrifiants de massacres, de viols et de décapitation. Plus de 200 000
personnes ont été contraintes de fuir leurs maisons.
Alors que les
représentants du gouvernement ont insisté sur le fait que les récentes
violences sont la conséquence de tensions interethniques, les résidents
déconcertés disent que ce n'est pas le cas. Beaucoup se référaient à une «main
invisible» - des tueurs apparemment professionnels sont venus dans leurs
villages et ont tué des gens à l’arme blanche ou à balles réelles, semant la
mort dans ce qui semblait être des assauts bien planifiés. Certains ont allégué
que des représentants du gouvernement pourraient être impliqués.
Installé un chaos permanent en RDC semble être la stratégie choisie par l’usurpateur Joseph KABILA, pour se maintenir au pouvoir, en attendant une balle dans la tête qui devrait le faire partir. Mettre l’économie du pays à terre pour affamer le peuple congolais est un choix assumé par les différents gouvernements successifs congolais pour diminuer notre résistance.
Mata POLELE
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