RDC: Koffi Olomide toujours indésirable au KENYA
Le Kenya n’a pas encore pardonné à Koffi Olomide.
Le ministère de l'Intérieur du KENYA vient de déclarer que le musicien
congolais Koffi Olomide reste un invité indésirable au Kenya depuis qu'il a été
expulsé il y a deux ans. Cela signifie que le chanteur n'est pas le bienvenu
dans le pays de sitôt.
Apparemment, dans un enregistrement vidéo partagé en ligne vendredi, KOFFI Olomide avait confirmé sa prochaine visite au KENYA en remerciant le gouverneur de Kakamega, Wycliffe Oparanya, de l'avoir invité à se produire à la conférence « Devolution » prévue pour le 24 avril 2018.Le gouverneur de Kakamega, Wycliffe Oparanya a même confirmé cette invitation lors d'un rassemblement public.
Cependant, son désir d'un grand retour au KENYA depuis son expulation il y
a deux ans ne pourra pas se réaliser après que le ministère de l'Intérieur
kényan ait révélé que Koffi Olomide n'était pas encore pardonné pour ce qu'il a
fait.
Les souvenirs d'un incident survenu en juillet 2016 à l'aéroport
international Jomo Kenyatta, dans lequel la star a été prise à la caméra en
train d'agresser sa danseuse, sont apparemment revenus le hanter.
Le porte-parole du ministère de l'Intérieur, Mwenda Njoka, a déclaré que suite à l'incident, qui a vu l’expulsion de l'auteur d’ "ultimatum", la star qui se croit tout permise, est toujours indésirable au KENYA. Le processus de réhabilitation de KOFFI Olomide au KENYA, affirme le ministère de l’intérieur kényan, n'a pas encore commencé.
Le Ministère de l’intérieur kényan affirme qu’il "incombe à Koffi
Olomide de demander que son statut (en tant qu'immigrant interdit de séjour au
KENYA) soit levé. Le fardeau de la demande du pardon revient donc à KOFFI
Olomide. Koffi, s'il ne demande pas la régularisation de son statut,
atterrirait juste sur le sol kényan et serait ramené à l'avion. Ce sont des procédures
internationales.
"Koffi Olomide contacté ne confirme pas s'il avait demandé la
régularisation de son statut ou pas, mais il renvoie les journalistes auprès de
ses agents kényans.
Mata POLELE
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