RDC : Zoé KABILA, l’homme de l’ombre et vice-président de la RDC.
Une famille restreinte à trois soudé autour de Joseph KABILA.
Zoé
KABILA, est un personnage aussi discret que son grand frère, président fantôme
de la RDC, Joseph KABILA. Peux de Congolais l’ont vu physiquement. Les deux frangins
n’ont pas eu la chance de s’asseoir sur les bancs d’une école puisque ayant
grandi dans la forêt, dans le maquis entre la RDC et la TANZANIE. Ce manque d’instruction
ne leur permet pas d’être bavards dans leur vie de tous les jours au risque de
débiter des sottises ou mieux de bêtises.
Vingt
et un ans après leur arrivée en RDC, ils sont incapables de formuler une seule
phrase en lingala, la langue parlée par leurs sujets, leurs peuples. Le manque
d’instruction initiale est un lourd handicap pour eux en vue de l’apprentissage
de la langue la plus parlée en RDC. C’est le moindre de leurs soucis. C’est qui
les intéresse, c’est la gestion des mines, des richesses du sol et sous-sol
Congolais qu’ils considèrent comme leurs biens privés.
ZOÉ KABILA vit à l’ombre de son grand frère depuis 2001, date à laquelle il est venu vivre en RDC après avoir quitté sa TANZANIE natale. De son propre aveu à Jeune Afrique, en grandissant il ne savait même pas qu’il était Congolais. En d’autres mots, il était Tanzanien à sa naissance jusqu’en 2001 (il avait alors 22 ans). En foulant le sol de KINSHASA en 2001, il est devenu Congolais et un des Conseillers les plus écoutés de son grand frère.
En mars
avril 2009, quand Vital KAMERHE a trahi ( ? ) Joseph KABILA, c’est ZOÉ
avec l’aide de JAYNET qui avait réussi à convaincre son frère de ne pas trop humilier
Vital KAMERHE. Joseph KABILA était tellement en colère qu’il voulait le faire arrêter
en montant un dossier judiciaire bidon pour le mettre en prison pour plusieurs
années. Kamerhe a eu la vie sauve que grâce à l’action combinée de ZOÉ et
JAYNET pour apaiser la colère de leur frère.
Zoé KABILA agit dans l’ombre de son frère aîné.
En
janvier 2015, pendant les manifestations contre la modification de la loi
électorale, pendant que le sang des vaillants Congolais coulait, Joseph KABILA et
les services de sécurités de l’État, espérer toujours passer en force. Il a
appelé KENGO WA DONDO pour lui dire que le SÉNAT devrait adopter cette loi
comme l’avait fait quelques jours avant le parlement. C’est un ordre lui dit-il
au téléphone. ZOÉ KABILA et JAYNET se déplacèrent au domicile de Joseph KABILA
compte tenu de la gravité de la situation. Après trois heures de discussion,
ils réussirent à le convaincre d’attendre un autre moment pour modifier la loi
électorale.
En avril 2010, Zoé KABILA a spolié la villa de feu Sakombi Inongo qu’il occupait depuis 30 ans. Une villa qu’il avait achetée auprès de Pierre Pay-Pay wa Syakasighe, un ancien gouverneur de la Banque du Zaïre. La famille SAKOMBI a été obligée de déguerpir, manu militari, par les BANA MURA envoyés par le vice-président de la RDC, Zoé KABILA. Les recours en justice et auprès du président de la République de la famille SAKOMBI, n’ont rien donné.
En
2010, le puissant Zoé Kabila s’est approprié le complexe sportif de l’Athénée
de la Gombe, un domaine public, où il s’est fait construire un cercle omnisport
dénommé « Le Shark Club XI ». Un cas patent de spoliation d’un bien
public.
En
novembre 2016, lors de la crise de la vente d’une partie de l’Athénée de
la GOMBE, un jour après la manifestation des élèves sur le boulevard du 30 juin,
le Ministre de la Fonction Public de l’époque avait voulu visiter le site en
conflit. Il trouva sur le lieu un groupe de commando BANA MURA qui lui interdira
l’entrée du site. Malgré l’insistance du Ministre, il ne visitera jamais le
site. L’ordre d’interdire l’accès au Ministre du site en conflit est venu de ZOÉ
KABILA.
Zoé KABILA dirige l’économie Congolaise depuis 2006.
Zoé Kabila est apparu sur la scène publique
congolaise au début de l’année 2006. Inconnu de la population Congolaise, le « jeune
homme » passe pour un homme d’affaires prospère. Déjà en 2006, il était à
la tête de la société « Aesis » spécialisée dans la fabrication des « imprimés
de valeur » destinés aux Régies financières du pays. Aujourd’hui, 11 ans
après, il est à la tête de plusieurs dizaines des sociétés et dans presque tout
le monde. Il est le patron de la mafia familiale qui phagocyte l’économie du
pays.
Ce
qui reste de l’économie Congolaise malade est tenu par ZOÉ KABILA. Il contrôle tout
sur l’économie congolaise à par la vente des cacahuètes au marché. On ne peut
pas monter une affaire économique importante en RDC sans avoir affaire au vice-président
ZOÉ KABILA. Soit on vous dresse des barrages insurmontables dès le début en
vous faisant savoir que c’est un domaine réservé soit alors on vous contraint
de travailler avec des tierces personnes. On ne vous laisse pas le choix.
ZOÉ KABILA malgré sa discrétion, distribue des ordres et des injonctions aux ministres, à la justice et à la haute administration de la république dans le cas des conflits multiples générés par ses multiples affaires économiques. C’est le dur du clan KABILA pendant que sa grande sœur est la gentille du clan. Les deux ont été élus députés nationaux de la république sans même faire une vraie campagne électorale. Dans l’assemblée, ils ne parlent jamais. Ils sont aussi taiseux que leur frère à la tête de la république.
La
famille KABILA (Joseph, Jaynet et Zoé) est seule à la commande de la RDC. Elle
n’a confiance en personne même pas à KALEV MUTOND qui commence même à l’inquiéter.
On parle de plus en plus de sa proximité avec les Français. Joseph KABILA n’écoute
que sa sœur jumelle et son frère cadet. Les trois se méfient des hommes
politiques congolais. Ils préfèrent travailler avec des étrangers et des Congolais
soumis aux étrangers comme les anciens membres du RCD GOMA.
Zoé
KABILA ne veut surtout pas entendre parler du départ de son grand frère à la tête de
la RDC, lui qui était Tanzanien jusqu’en janvier 2001 selon ses propres
déclarations à Jeune Afrique. Il considère la RDC comme leur bien privé : « nous
ne laisserons pas le pouvoir à n’importe qui » aime-t-il dire comme si la
constitution de notre pays leur donner le droit de se choisir leur propre remplaçant.
Zoé KABILA qui a confisqué notre économie et qui brade nos mines aux étrangers
constitue un grand danger pour la paix et l’avenir de notre pays.
Tant qu’il
sera là, notre économie ne se relèvera jamais puisqu’il empêche les Congolais
de souche d’entreprendre. Il verrouille toute notre économie au profit du clan
KABILA et des étrangers, reléguant les Congolais de souche à la mendicité et à
l’assistanat.
Aucun commentaire
Merci de donner votre avis sur cet article.