117 défenseurs de l’environnement ont été tués depuis début 2017 à travers le monde.
Tout en protégeant les terres ou les ressources naturelles de leur communauté, ils ont été assassinés.
Pendant que nous
festoyions, nous rions, il y a des personnes qui sont abattues comme des chiens
à travers le monde. Leur seul crime c’est la protection de la nature, de la
faune, de la flore, des animaux et de toutes les espèces menacés de disparition.
Elles sont déjà 117 pour cette année. Voici quelques-unes de ces personnes,
qu'ils soient des gardiens de la faune en République démocratique du Congo ou
des militants autochtones des droits fonciers au Brésil. À ce rythme actuel, il
est probable que quatre défenseurs environnementaux seront tués cette semaine quelque
part sur la planète.
Quelques-uns des derniers morts.
Tué le 16 juillet
2017 en République démocratique du Congo
Dudunyabo Machongani
Célestin, le garde forestier tué dans la ligne de service dans le parc national
des Virunga.
Tué le 13 juillet
2017 au Brésil
Raimundo Mota de Souza
Junior, chef du Mouvement pour les pauvres agriculteurs de Bahia, tué par
quatre hommes armés.
Tué le 7 juillet
2017 en Inde
Sharath Madivala, un
activiste contre l'exploitation du sable, a été poignardé par des agresseurs encore
inconnus.
Tué le 6 juillet
2017 au Brésil
Ademir de Souza
Pereira, chef local de League of Poor Peasants, a été tué pendant qu’il lavait
sa voiture.
Tué le 27 mai
2017 au Guatemala
Carlos Maaz Coc, un
pêcheur qui a protesté contre la pollution des lacs liée à l'exploitation
minière.
Tué en février 2017
au Brésil
Renato Anglao, un
défenseur des droits des autochtones.
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