RDC: Peuple congolais, bougeons pour faire bouger le pouvoir ! C'est le prix de notre liberté.

Peuple rd congolais, résister à la dictature est un devoir, un droit reconnu par notre constitution : article 64.

Aucune institution en RDC n’est légitime, légale. Elles ont dépassé, toutes, leurs durées légales. Le sénat est hors mandat depuis plus de 5 ans. Le Président est hors mandat depuis le 19 décembre 2016. Le parlement est hors mandat depuis février 2017. Les assemblés provinciaux sont hors mandat depuis plusieurs années. Les gouverneurs de nos régions sont hors mandats depuis 2011. Même l’institution judiciaire n’est plus crédible car le garant de son impartialité et de son bon fonctionnement, le chef de l’État, est hors mandat.

Les trois pouvoirs qui garantissent un état de droit sont hors mandat en RDC, par la simple volonté d’un seul homme qui, pour se maintenir au pouvoir éternellement, a organisé et planifié méthodiquement, le glissement général des institutions de la république. C’est une situation unique dans le monde moderne. La RDC est le seul état au monde sans aucune institution légale.

Devons-nous accepter, comme des moutons, ce fait accompli qui nous prive de notre liberté de se choisir les femmes et les hommes qui doivent nous diriger ?

Ne rien faire où ne rien dire nous rend complice de ceux qui nous privent de notre droit le plus élémentaire : choisir nos gouvernants. Voilà pourquoi, RDCNEWSPOLELE lance un appel solennel au peuple RD Congolais, à la désobéissance civile. Soulevons-nous ! Désobéissons aujourd’hui, à ceux qui nous dirigent par défi et les armes, pour ne pas mourir demain.

Ouvrons les yeux. Désobéissons. C’est une question de survie !

L’encyclopédie en ligne WIKIPEDIA, nous dit ceci : la désobéissance civile est le refus assumé et public de se soumettre à une loi, un règlement, une organisation ou un pouvoir jugé inique par ceux qui le contestent, tout en faisant de ce refus une arme de combat pacifique.

Les institutions rd congolaises n’ont plus aucune légitimité et légalité par conséquent les décisions qu’elles prennent ne peuvent plus, ne doivent plus nous concerner. Nous avons le droit et le devoir de les boycotter. Ces institutions ne sont plus fondées en droit, en justice, ou en équité. Ouvrons les yeux. Désobéissons. C’est une question de survie ! Montrons-leur que notre détermination est plus forte que leur répression.

Au-delà même de la légalité de leur mandat, une question de conscience et d’éthique se pose à nous. Devons-nous obéir à des gens qui nous tuent (les massacres au KASAI, à BENI, à KIMPESE, à KINSHASA etc.) et qui nous affament pour le seul objectif de se maintenir au pouvoir ?

Devons-nous, chers compatriotes, obéir à des terroristes qui nous dirigent, qui bombardent les permanences des partis de l’opposition en utilisant des armes de guerre et en y tuant des innocents ? Devons-nous obéir à des incapables qui, après 17 ans de pouvoir ne sont pas parvenus à donner de l’eau et l’électricité à tous les congolais ? Devons-nous se soumettre aux voyous qui nous dirigent et qui instrumentalisent la violence pour s’éterniser au pouvoir ?

À toutes ces questions, RDCNEWSPOLELE répond non ! Ces gens-là sont des voyous, des terroristes, des kuluna, des assassins et ne méritent pas notre respect, notre obéissance. Nous devons les combattre, par tous les moyens légaux notamment et surtout par la désobéissance civile. Refusons et contestons leur autorité. Interpelons-les ! Montrons leurs pars nos faits et gestes, par notre comportement qu’ils doivent dégager, que nous ne les aimons pas. Ils ont failli à leur mission.

Réveillons-nous ! Nos autorités ne méritent pas notre respect.Peuple rd congolais, quand la justice de notre pays zigzague, celui qui reste impartiale et continue à dire que les lois doivent toujours être respectées est complice. De la même manière que celui qui se déclare neutre en voyant combattre un lion avec une souris, soutien en réalité le lion. Sa neutralité est une complicité pour l’écrasement de la souris. Désobéissons aussi à cette justice injuste au service du pouvoir de KABILA et des puissants de notre pays.

Ne rien faire, ne rien dire, ne pas protester c'est être complice de la dictature.

Face à la misère du peuple congolais, face à la soldatesque de KABILA, face aux massacres du peuple rd congolais qui semble sans fin et sans limites, tout Congolais qui ne fait rien, qui ne réagit pas est complice du pouvoir en place. Chacun des Congolais, là où il est, sur le territoire national ou à l’étranger, doit agir, réagir avec les moyens qu’il possède afin de chasser le pouvoir terroriste de KINSHASA. Un pouvoir qui organise et planifie les massacres massifs de son peuple comme au KASAI, est satanique.

Nous ne devons plus obéir et respecter nos autorités et les décisions qu'elles prennent. Elles ne les méritent pas. Elles nous tuent comme des mouches, la fosse commune de MALUKU et celles du KASAI, doivent nous révolter et interpeller. Elles nous tuent comme des rats, les habitants de Béni et du Kasaï central en savent quelque chose. Elles sont incapables d’assurer la paix sur toute l’étendue de la république. Elles doivent partir, de gré ou de force.

Pendant que le peuple congolais mange sous « réserve », nos autorités mangent sans réserve. Elles ont pris en otage toutes les richesses de la RD Congo. Où Jaynet KABILA a-t-elle trouvé les 15 milliards de dollars qu’elle a planqués au PANAMA ? La RDC est devenue leur champ (bilanga na bango) où nos autorités récoltent les richesses qu'elles n'ont jamais semées, ne laissant rien au peuple congolais.

Unissons-nous, rassemblons-nous pour les chasser du pouvoir. Désobéissons-les puisqu'elles n'ont aucune légitimité. Ne rien faire, ne rien dire, ne pas protester c'est être complice de leurs actes et accepter leur domination. Il est temps, que tu bouges mon frère. Il est temps que tu bouges ma sœur. Il est vraiment temps que nous bougeons, pour que le pouvoir bouge aussi. Ne soyons pas des complices silencieux, inactifs, consentants d'un pouvoir illégal et illégitime. Peuple congolais, bougeons pour faire bouger le pouvoir.